Un fantasme que j'ai pratiquement réalisé quelques années plus tard avant de rencontrer ma Maîtresse sur Fessestivites puis à Vauvert

Il arrive devant le portail de la maison où on lui a demandé de venir. Il prend son portable et compose un numéro, une , deux, trois sonneries, on décroche

"Allo". "Bonjour Madame, il est 14h00, j'ai rendez vous avec vous". "Oui, très bien, poussez le portail et refermez le derrière vous, il se verrouillera automatiquement, puis remontez l'allée, entrez par la porte entre ouverte, refermez là à clé, puis suivez le couloir jusqu'à la pièce éclairée".

Il suit les instruction, et arrive dans une grande pièce, aux murs blanc, moquettée de rouge ou tous les meuble sont noir, celle ci est éclairée, par plusieurs chandeliers, il s'avance dans la pièce, distinguant des objets sur une table basse, il s'approche et découvre là, un collier de chien et sa chaine laisse, une cagoule de cuir et une paire de menotte. il n'a pas le temps de se poser des questions, qu'il entend dans son dos, une voix autoritaire lui dit :

" A plat ventre les mains dans le dos, le nez dans la moquette", il ne s'exécute pas de suite, un coup de cravache lui cingle les cuisses. Il s'exécute, et sent un genou se poser sur épaule et le contact froid des menotte se refermant sur ses poignets, puis une main l'empoigne par les cheveux lui relevant la tête vers l'arrière, et d'un coup, le voilà encagoulé, complètement aveugle et muet, le collier se resserre sur son cou et la chaîne laisse qui le relie, se tend en même temps que cet ordre, "debout", il commence à se relever, mais un nouveau coup de cravache l'arrête, "non, à genou, comme le chien que tu es".

Il progresse donc à genou, dans le noir complet, ne sachant où on le conduit, maintes fois, il bute, la laisse le tire et la crache le cingle, enfin sa progression se termine, il comprend que l'on fixe quelques chose et son collier, et d'un coup, il se sent tirer vers le haut, il est obligé de suivre le mouvement, la tension, fait qu'il se retrouve légèrement surélevé sur la pointe des pieds. Il sent des mains qui le déshabille, d'abord le haut, puis, une ceinture se serre sur sa taille, lui emprisonnant un poignet contre son dos, un bracelet de cuir est passé à son poignet libre et on lui enlève la menotte qui lui maintenez les mains ensemble, aussitôt, ce poignet est tiré, le haut, le second poignet subi le même sort, le voilà les deux bras écartelés et tirés vers le haut.

Les mains maintenant s'attaquent à son pantalon qui tombe sur ses chevilles, ses chaussure et ses chaussettes, lui sont retiré, le pantalon aussi, le slip, ne tarde pas à suivre, un bracelet est fixé à l'une de ses chevilles, l'autre subi le même sort, un barre les relis entre eux, le voilà maintenant, nu, complètement écartelé, on lui retire le collier qui enserre son cou. La voix se refait entendre, "mais c'est que tu es gras mon cochon, il va falloir te faire maigrir, mais cela ira vite, tout d'abord, on va s'occuper de ta pilosité".

Il sent que l'on projette sur son corps de la mousse dépilatoire, le produit fait effet et il sent la chaleur de celui ci sur son corps, sous son masque de cuir, des larmes montent à ses yeux, il pense, "mon dieu, ai je eu raison de répondre à cette annonce", ses pensées sont interrompu par un jet d'eau froide sur son corps et il sent que l'on frotte son corps en même temps, le voilà trempé, il a la chair de poule. La voix lui dit "tu as froid ?, je vais te réchauffer moi", et une grêle de coups de martinet à longue lanière s'abat sur lui, le voila cramoisi. Il essaye de percevoir à travers son masque les bruits autour de lui.

Tout à coup quelques chose de froid entre en contact avec lui, à hauteur de son ventre, il sent que l'on fixe les bracelets de ses chevilles à ce nouvel objet, et, les liens qui maintenaient ses poignets se relâchent, sans toutefois le laisser libre de ses mouvements. Ses poignets sont tirés vers l'avant, ce qui l'oblige à se pencher en avant, il sent alors que le contact froid qu'il avait ressenti est celui d'une table, sur laquelle, il se retrouve attaché. Il sent alors que l'on palpe son corps, on le pince, quelques coups de martinet cinglent ses fesses, puis la palpation se précise, il sent un doigt qui commence a explorer son fondement, puis deux, trois, ils rentrent, sortent, re rentrent, tournent, son fondement est lubrifié par ses doigts huilés, la voix, le calme, le rassure, "ne craint rien, laisse toi faire, détend toi".

Les doigt se retirent et sa petite rosette, ressent un nouvel objet à sa porte, d'un diamètre plus gros que les doigts qui l'ont fouillés, il sent cet objet entrer tout doucement en lui, en même temps qu'un autre contact, des jambes frôlent les siennes, on est en train de le sodomiser avec un gode ceinture, la séance dure un bon moment, son fondement est en feu, sous sa cagoule, la sueur coule. Le gode ressort doucement de lui, lui laissant une impression d'un vide immense. On le laisse ainsi, il ne sait combien de temps, puis, il perçoit à nouveau une présence, on lui fixe une nouveau collier au cou, un collier étrangleur à pointe, puis, des espèces de moufle sont passé à ses mains et cadenassés à ses poignets. Le bruit clair d'une chaine que l'on déplace et le mousqueton que l'on fixe au collier.

Les poignets sont détachés de la table, il peut se relever. Ses chevilles sont aussi détachées, mais les bracelets y restent fixé et sont cadenassés. Un ordre " Recule et à genou, les mains dans le dos", il s'exécute, des mains s'activent à lui retirer sa cagoule, la lumière lui brûle les yeux, il a du mal a retrouver sa vison, enfin sa vue se stabilise et il l'a voit, elle est là, devant lui, majestueuse, vêtue d'un bustier de cuir noir, avec de hautes cuissardes luisantes.

Dans ses mains, un martinet à longues lanières, n'attend qu'une seule chose, entrer en action. Elle lui parle, "voilà tu l'a voulu, maintenant tu en mon total pouvoir, je suis ta Maîtresse, je vais pouvoir faire de toi ce que je veux, ton dressage va commencer, pour l'instant, tu ne vas être qu'un chien et comme tel, tu seras à la chaine jour et nuit. Je vais t'apprendre à m' obéir à devancer le moindre de mes désirs.

Si tu es obéissant, ton statut changera et tu apprendras à être une femme, du devra penser et agir en femme, cela prendra le temps qu'il faudra, les punitions seront ton lot quotidien, à toi de bien faire, pour les éviter, mais sache, que je peux te punir aussi pour mon simple plaisir, sans aucune raison, maintenant, je vais te laisser seul réfléchir à ton sort."

Elle s'en va, le laissant seul, il en profite pour regarder où il se trouve. c'est une pièce, sans fenêtres, d'une assez grande dimension, dont les mur et le sol sont carrelés, sur le coté droit du mur est fixé la chaîne d'environ trois mètre qui est relié à son collier, ce qui lui permet juste de se déplacer vers la couchette en bois style cachot avec une vielle couverture, et l'espèce de caisse à litière pour ses besoins, le reste de la pièce est meublé d'objet de torture, croix de saint André, carcan, table à fessé et autre, des chaînes pendent du plafond. Un mur est tapisser de d'accessoires, martinet, fouet, paddles, pinces à sein, godes et plugs. Là, il se rend compte, qu'elle a raison, il est vraiment en son pouvoir, sans aucune possibilité de s'échapper, les moufles qu'elle a fixé à ses mains, lui empêche de se servir de ses doigts pour se détacher, mais c'est ce qu'il voulait : devenir l'esclave servile d'une maîtresse femme.

INFO WEBMASTER La rencontre BDSM de ce membre a réellement eu lieu quelques années plus tard. Ils sont aujourd'hui en couple.

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